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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 15:02
Découverte de viande réemballée dans un supermarché

 

  Image d'illustrationImage d'illustration. PHOTO/AFP REMY GABALDA

Une enquête a été ouverte après la découverte d'une fraude à l'emballage de barquettes de viande dans un supermarché de Haute-Loire, a-t-on appris lundi de source proche de l'enquête, confirmant une information du quotidien régional La Montagne.

En plein scandale de la viande de cheval, la supercherie a été découverte lors d'un contrôle aléatoire dans un Super U de Langeac (Haute-Loire). Le parquet du Puy-en-Velay a ouvert une enquête pour déterminer notamment si la viande était périmée et si celle-ci était nuisible à la santé, ce qui aggraverait les poursuites.

Selon une source proche du dossier qui n'a pas précisé de quel type de viande il s'agissait, les barquettes de viandes étaient ré-emballées avec un changement de date sur les étiquettes.

Selon des premiers éléments "cette pratique était bien organisée et se déroulait depuis un certain temps

Source: Trad'Consulting via www.charentelibre.fr


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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 18:31
Un Suisse élu meilleur sommelier du monde, le Vendéen David Biraud privé de finale

sommelier, concours, vin,

Le Vendéen David Biraud n’a pas décroché le titre tant convoité de meilleur sommelier du monde.


Le Suisse Paolo Basso a été élu ce vendredi à Tokyo meilleur sommelier du monde après une finale sans représentant hexagonal.

Une femme en finale

Nouvelle déception pour les tricolores. Comme en 2004 à Athènes, le candidat de la France ne s’est pas qualifié pour la finale. A l’instar de nombre de favoris David Biraud, chef sommelier du Mandarin Oriental de Thierry Marx est tombé dans les pièges dressés par le jury lors de la demi-finale.

>> lire le portrait de David Biraud

Et c’est un trio inédit qui a concouru pour le titre de meilleur sommelier du monde : Paolo Basso, Aristide Spies et la Canadienne Véronique Rivest.

Favori et élu

Pour la première fois une femme a atteint ce niveau de la compétition. Première également pour le sommelier belge, qui n’avait jamais accédé à une finale internationale.

Sacré meilleur sommelier d'Europe en 2010 et deuxième des derniers championnats du monde la même année, Paolo Bosso était donc logiquement favori d’une édition marquée par des coups de théâtre comme lorsque la candidate roumaine fit tomber un verre de vin en demi-finale. Les larmes aux yeux, elle fut réconfortée par l'un des membres du jury peu après, mais tout de même éliminée.

Les sens et les mains de Paolo Basso n’ont pas tremblé lors l'ultime journée. Le Suisse s'est montré plus convaincant dans sa connaissance des vins, leur service et leur présentation dans une langue étrangère.

Né en Italie il y a 47 ans, M. Basso travaille au restaurant Conca Balla de Vacallo, situé côté suisse de la frontière helvético-italienne.

C'est quoi un bon sommelier ?


"Un bon sommelier doit avoir une bonne connaissance du vin, être agréable et vous faire apprécier vos plats", explique le président du jury, le Français Serge Dubs, en présentant le concours mardi.


D'après cet ancien vainqueur du titre en 1989, "le sommelier ne doit surtout pas se prendre pour une star et offrir un service parfait, précis et amical, afin de faire plaisir aux clients".

(Photo AFP)

Source: Trad'Consulting par Antoine Victot via www.cuisine.blogs.ouest-france.fr

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 14:19

Difficile de se faire une religion à l’heure de tirer le bilan de l’année 2012 des produits frais. Un bien curieux millésime en fait.

Couverture HS mars 2013

 

D’un côté, les rayons frais libre-service, traditionnels moteurs du marché des PGC, auteurs d’«une petite année», selon les experts de SymphonyIRI, avec même une légère chute des volumes (-0,4%). De l’autre, les rayons «trad», les fruits et légumes, la boucherie, la marée, la charcuterie, letraiteur et les fromages… Des familles à la peine depuis vingt ans, face à des Français de moins en moins férus de cuisine, toujours plus pressés et toujours plus stressés par les à-coups de prix qui caractérisent ces secteurs, mais qui ont pourtant fait des miracles l’an dernier : «une année exceptionnelle » pour les rayons à services, selon les experts de Kantar Worldpanel.

Jugez plutôt, des ventes en volume en hausse de 3%, voire 4,1% même pour les seuls fruits et légumes, des hypers qui en profitent pour grignoter en seulement douze mois plus de 1% d’un gâteau supérieur à 30 milliards d’euros et dépasser 38% de part de marché… Voilà bien longtemps que le secteur « trad» n’avait pas été à pareille fête. Profitant de prix plus mesurés, il a vu revenir les foyers modestes dans ses allées, mais aussi touché les dividendes des investissements engagés par la plupart des distributeurs pour moderniser et dynamiser ces rayons qui ont pris une haute valeur stratégique. À la fois vecteurs de différenciation et porteurs de services, d’image prix, de qualité et de professionnalisme.

La question est de savoir si cette belle alchimie va se maintenir au-delà d’une année 2012 d’exception ou si les choses vont rentrer dans l’ordre, les rayons frais LS retrouvant leur tonus de la dernière décennie et le « trad » ses errements passés ? Les analystes adeptes du temps long inciteront sans doute à la prudence, actant que l’évolution de la consommation plaide pour le prêt-à-l’emploi bien fait et innovant proposé par les champions du frais LS, plutôt que pour des produits frais traditionnels alléchants mais trop marqués par des prix en dents de scie et une météo capricieuse. Sauf que cette théorie d’un retour à la normale, pour plaisante qu’elle paraisse, ne tient pas compte d’un impromptu de taille, à savoir la crise dite du « horsegate ». Parti des lasagnes surgelées en février, le scandale de la viande de cheval a en effet jeté le doute depuis sur la plupart des produits transformés à base de viande et insinué une suspicion larvée plus générale sur les produits frais industriels. Or, la méfiance n’est jamais bonne conseillère à l’heure d’ouvrir son porte-monnaie ou de nourrir sa famille et de recevoir ses amis. Et même si l’industrie se met en quatre pour conjurer ce mauvais coup de sabot sur ses process, l’affaire pourrait durer un moment avant de se tasser. De quoi faire les affaires des bons vieux produits frais traditionnels, stimulés qui plus est par la percée sans précédent des drives, qui oblige les distributeurs à encore davantage investir sur leurs zones marchés. Et de quoi peut-être faire d’une exception une règle.

 

Source: Trad'Consulting par Jérôme Parigi via www.lsa-conso.fr
 

 


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28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 09:12
Commerce et grande distribution, un forum emploi
crédits : Mairie de Paris - Emilie Chaix

Le 29 mars prochain, la mairie du 9e arrondissement organise le premier forum emploi « Commerce et grande distribution », en coopération avec Pôle Emploi, la Ville de Paris et Carrefours pour l’Emploi. Préparez vos CV.

Ce rendez-vous est le premier des quatre nouveaux forums organisés en 2013 par la Ville de Paris dans les secteurs économiques à fort besoin de main d’œuvre. L’événement vise à faciliter la rencontre entre les employeurs et les Parisiens en recherche d’emploi, dans le secteur particulièrement dynamique du commerce et de la grande distribution.

57 exposants - dont Les Galeries Lafayette, Le Printemps, Le Bon Marché, Uniqlo, ainsi que des organismes de formation - sont attendus vendredi 29 mars à la mairie du 9e.

Pour orienter les candidats, l’ensemble des partenaires de l’emploi seront également présents : Pôle Emploi Paris 9e, la Maison des Entreprises et de l’Emploi des 9e, 17e et 18e, la Mission locale Paris Centre et l’Espace Insertion des 9e, 17e, et 18e.

L’entrée de ce forum est libre et sans préinscription. Il suffit de se munir d’un CV.
Côté pratique
Forum Commerce et grande distribution
Vendredi 29 mars 2013 – De 9h à 18h
Mairie du 9e
6 rue Drouot 75009 Paris
Métro Richelieu-Drouot, lignes 8/9
+ d’infos
Site du forum 

Mairie du 9eme 

Source: Trad'Consulting via www.paris.fr

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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 07:45
Champagne : Lanson-BCC victime de la guerre des prix

champagne-sittler_rayon.jpg

 

L'année 2012 restera une année difficile pour le champagne. Lanson-BCC, la deuxième maison de la région n'a pas échappé au marasme ambiant, avec un chiffre d'affairesen recul de 11,4 %, à 274,7 millions d'euros, sur l'ensemble de l'année 2012. Lerésultat net a lui aussi diminué de 15,3 % à 17,6 millions d'euros en partie grevé par l'impôt. « Si nous continuons ainsi, le taux d'imposition en France atteindra 40 % d'ici à deux ans, alors que, au Royaume-Uni, il va tomber à 20 % », s'insurge Bruno Paillard, le patron du groupe. Dans cet environnement, il se félicite d'avoir maintenu le taux demarge opérationnelle à 15 %, un niveau inchangé par rapport à l'année précédente. L'endettement net a progressé de 5,7 %, à près de 500 millions d'euros.

Assez largement dépendant du marché français, où il réalise plus de la moitié de son activité, BCC-Lanson dit avoir été « confronté à une concurrence suicidaire sur le marché spécifique des marques de distributeurs ». Les pratiques déjà constatées de promotions jamais vues en 2009 ont atteint des niveaux extrêmes à certains moments de l'année écoulée. Les offres de bouteilles à 5,60 euros sous certaines enseignes de ladistribution, alors que le coût de production est estimé à 6,50 euros au moins, ont marqué les esprits. De sources concordantes champenoises, une entreprise, mise en règlement judiciaire en décembre, Dubois Pressoirs de France serait plus particulièrement responsable de ce type d'offres. « Nous n'avons pas souhaité participer à cette guerre des prix. Nous avons voulu maintenir le plus possible le niveau de marges », explique Bruno Paillard. Néanmoins, c'est cette concurrence, estime-t-il, qui a déclenché la baisse des volumes de 10 % enregistrée par la maison de champagne en 2012.

 

Les Etats-Unis en baisse

Même les fêtes de Noël et du 1 er janvier se sont avérées décevantes. « Décembre a été le plus mauvais mois de l'année », selon Bruno Paillard. Le marché total du champagne a diminué de 12,5 % sur les quatre dernières semaines alors que la chute des ventes sur l'ensemble de l'année s'est limitée à 8,8 %. Les deux plus gros clients étrangers du champagne ont fortement réduit leurs achats l'an passé. Le Royaume-Uni a acheté 32 millions de bouteilles, soit 6 % de moins qu'en 2011. Les Etats-Unis ont« sous-performé », souligne Bruno Paillard, avec des importations de 17 millions de bouteilles (- 8,7 %).

En 2013, Lanson-BCC prévoit de poursuivre sa stratégie de valeur en réduisant sa dépendance à l'égard du marché français et en s'appuyant sur les marques telles que Lanson, Tsarine, Philiponnat et Boizel.

Source: Trad'Consulting  par Marie-Josée COUGARD via www.lesechos.fr
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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 07:18

La direction doit présenter aujourd'hui sa nouvelle organisation.
La régionalisation succède à une division par taille de magasin.

Des paroles aux actes. Le 7 mars, lors de la présentation des résultats annuels dugroupe, Georges Plassat confirmait le retour de la décentralisation chez Carrefour.« La décentralisation n'est pas négociable et les anciennes méthodes doivent évoluer. Aujourd'hui, on doit avant tout penser client et [le] remettre au coeur de notre mode de pensée », indiquait alors le PDG, rompant ainsi avec la gestion hypercentralisée, à la Tesco, de son prédécesseur, Lars Olofsson. Une option stratégique confirmée le 21 mars lors de la conférence « Grande conso et distribution » organisée par « Les Echos », où l'ex-patron de Vivarte expliqua que chaque magasin devait désormais adapter son offre à sa zone de chalandise.

 

Partagé en quatre zones

Aujourd'hui, Carrefour Hypermarchés, le coeur de l'activité française de l'enseigne, met ce principe à exécution. Selon nos informations, la direction devrait présenter aujourd'hui au comité central d'entreprise son projet de réorganisation opérationnelle. Fini le fonctionnement par taille de magasin avec, d'un côté, les très grands hypermarchés, de l'autre, les hypermarchés de proximité et, au milieu, les hypermarchés d'attraction (les plus nombreux, le standard). Adaptation géographique oblige, Carrefour passe à quatre zones : le Grand Ouest, le Grand Sud-Est, l'Ile-de-France et le Nord.

Il s'agit, en réalité, d'une deuxième étape de décentralisation, puisque l'organisation par formats avait été mise en place en février 2012 et constituait une première brèche dans la direction unique qui prévalait jusqu'alors.

Les représentants du personnel devaient connaître également aujourd'hui le nom des directeurs chargés des quatre nouvelles directions sous la tutelle de Noël Prioux, le directeur exécutif de Carrefour France, et d'un nouveau directeur des hypermarchés issu, selon nos informations, du département produits frais. Deux ex-directeurs de format resteraient dans le jeu et seraient rejoints par un acheteur PGC et un cadre venu de l'international.

Plus proche des clients, l'organisation par régions est traditionnellement de mise chez les indépendants dont les adhérents sont rattachés à des centrales d'approvisionnement elles-mêmes régionales. Or on sait que les Leclerc, Système U et autres sont les grands gagnants du jeu de la concurrence ces derniers mois.

Primes de performances

Mais, pour Georges Plassat, décentraliser, c'est aussi redonner du pouvoir aux directeurs de magasin eux-mêmes, en leur fixant, notamment, des primes deperformances qualitatives. A charge pour eux d'entraîner le reste d'une troupe qui bénéficiera d'augmentations salariales comprises entre 0,8 % et 1,6 %, selon l'accord annuel signé le 25 mars par FO et la CGC. Des employés dont certains restent toutefois mécontents, notamment de la baisse de 43 % du montant de la participation. Sur ce thème, la CFDT appelle à des actions en magasin vendredi.

Source: Trad'Consulting par Philippe BERTRAND viawww.lesechos.fr


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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 15:44
Pour 78% des Français, le prix est le premier critère d'achat de produits alimentaires. La composition des produits (33%) et leur provenance (29%) arrivant loin derrière et ce, malgré le "horsegate", selon le baromètre Opinion Way pour Sofinco. On peut continuer à s'empoisonner lentement...

 

Le prix premier critère d'achat alimentaire ... la qualité ou l'origine loin derrière

Après le prix, 46% des personnes interrogées déclarent être attentives à la qualité gustative, 44% aux dates de péremption, 36% aux habitudes familiales et de santé et seulement 33% à la composition des produits et ... 29% à leur origine. La grande majorité des sondés (87%) s'approvisionnent dans la grande distribution, seulement 5% font leurs courses au marché et un petit 2% directement auprès des producteurs.

Au total, les sondés (1) déclarent dépenser en moyenne 396 euros par mois pour leur alimentation (courses + déjeuners, cantines...). Ce chiffre varie fortement puisque les foyers dont les revenus sont supérieurs à 3.500 euros/mois dépensent 539 euros en moyenne quand les plus modestes (revenus inférieurs à 1.000 euros) ne déboursent que 222 euros.

Un effort à tous les niveaux

Pour réduire leur budget alimentation au minimum, 98 % des Français ont modifié leurs comportements. Ainsi, 87 % d'entre eux déclarent cuisiner leurs restes pour éviter de gâcher, 85 % affirment comparer systématiquement les prix des produits selon les marques (66 % préfèrent d'ailleurs les marques de distributeurs aux grandes marques). Pour aller plus loin dans les économies possibles, 84 % des personnes interrogées privilégient les produits en promotion et 81 % disent utiliser régulièrement des coupons de réduction.

Toujours dans une perspective de réduction des coûts, ils sont 75 % à limiter leurs sorties au restaurant (versus 56 % pour les foyers aux revenus supérieurs à 3 500 euros et plus). Dans ce domaine d'ailleurs, 44 % des Français estiment que le budget dédié aux loisirs gastronomiques est en baisse par rapport à l'an passé (versus 22 % qui le considèrent en hausse et 34 % qui le jugent stable).

 

Dans ce contexte, 47 % des Français tentent de rogner sur les dépenses au prix de nombreux efforts et de bonnes pratiques cumulées. Est-ce suffisant pour autant ? Aujourd'hui, la réponse semble être négative : quelque que soit le budget alloué mensuellement, 61 % des Français estiment que le coût de l'alimentation est trop élevé. Un sentiment plus largement exprimé par les 18-24 ans (72 % versus 52 % des 60 ans et plus) et les foyers avec enfants (75 % versus 55 % ceux qui n'en ont pas).

Source: Trad'Consulting par Amelle Nébia via www.e-marketing.fr


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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 11:28

Leclerc reste l'enseigne de grande distribution préférée des Français.

ALLEE CENTRALE

Leclerc et Carrefour occupent les deux premières places du sondage, devant les marchés de rue. Andrew Horwitz/shutterstock.com

 

 

 

(Relaxnews) - L'enseigne bretonne, célèbre pour la verve de son PDG Michel-Edouard Leclerc, reste la grande surface favorite des Français, selon une étude Promise Consulting Inc et Huffingtonpost.fr, publiée mardi 26 mars. Elle obtient un score de 30% (31% en 2012), contre 23% pour son dauphin Carrefour.

Ce palmarès, dressé par la société Promise Consulting Inc, prend en compte un "indice de désirabilité" mais aussi la notoriété des grandes surfaces. Les commerces de proximité ainsi que les marchés ont été intégrés à ce classement.

Et, force est de constater que les consommateurs français semblent accorder à ces derniers une attention toute particulière. Les marchés obtiennent la troisième place du podium, avec un score de 11%, devançant le mastodonte Auchan (9%).

"Les marchés de rue confirme que les Français sont sensibles à des alternatives au système classique de la grande distribution. La proximité, la praticité mais également l'authenticité ou la qualité représentent des leviers aspirationnels puissants. Enfin, notons que la multiplication récente des scandales alimentaires influence très certainement le consommateur à rechercher des points de vente où il peut régulièrement dialoguer avec un interlocuteur unique" décrypte l'étude.

Les Français boudent le hard discount, pas le commerce de proximité

Plébiscité pendant la crise il y a quatre ans pour ses prix attractifs, le hard discount n'apparaît pas dans le top 10 de ce palmarès. Le système pâtit sans doute de la contre-attaque agressive des grandes surfaces traditionnelles, qui ont su répliquer avec des gammes discount et des premiers prix.

A l'inverse, les consommateurs choisissent de faire leurs courses dans des enseignes près de chez eux. Carrefour Market parvient ainsi à s'adjuger la septième place, avec un score de 4%.

Cette étude a été menée auprès d'un échantillon représentatif national de 1.012 personnes, âgées de 18 ans et plus entre le 8 et le 20 février 2013.

 

© 2013 www.relaxnews.com

Source: Trad'Consulting par relaxnews via www.boursorama.com

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 09:45
Jéroboam : gérer sa cave à vins
  • Langue : 
  • Taille :11.90 Mo
  • Licence :Version d'essai
  • Système :Win XP Pro, Win XP Home, Windows Vista, Windows 7, Windows 8
  • Note GNT :
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  • Editeur :http://www.jeroboam.fr/jeroboam.php

Fan d'œnologie, collectionneur, responsable d'une cave à vins ? Le programme Jéroboam est un remarquable gestionnaire de cave à vins.

 

Le programme Jéroboam est un gestionnaire de cave à vins performant. Il sera un utilitaire idéal pour les amateurs d'oenologie, en leur proposant un outils capable de classer les vins par style, prix, taille de bouteille, région, château, année, et bien plus encore !

Cette démo permet de rentrer jusqu'à 10 bouteilles, mais offira déjà un superbe apperçu des nombreuses possibilités du logiciel Jéroboam. Il peut s'avérer très pertinent dans les restaurants ou les hôtels pour réaliser une vraie gestion de leur cave.

 

Jeroboam screen1  Jeroboam screen2

Source: Tradconsulting via www.generation-nt.com
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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 00:27
 
100 kilos de viande de cheval étiquetée boeuf ont été importés de Hongrie.
Photo d'Illustration
Photo sipa/sipa 

Cent kilos de viande de cheval faussement étiquetée boeuf et importée de Hongrie ont été découverts dans le Lancashire et à Liverpool (nord-ouest de l'Angleterre), dont 40 kg déjà revendus, a annoncé vendredi l'agence de sécurité alimentaire britannique (FSA). "La viande avait été importée de Hongrie par la société Hungarian Food Ltd à Preston", chef-lieu du Lancashire, et a été "vendue sur son stand du marché de la ville anglaise, ainsi que dans une boutique de Liverpool baptisée Taste of Hungary (saveur de Hongrie: NDLR)", a précisé l'agence.

 

La viande, vendue en portion d'un kilo et étiquetée "dés de boeuf", a été découverte par les autorités locales du comté. La viande qui n'avait pas été vendue a été retirée de la vente, selon la FSA. 

20 sacs d'un kilo en mai 2012

Le gérant de la boutique "Taste of Hungary" a précisé avoir acheté 20 sacs d'un kilo en mai 2012 de ce qu'il croyait être de la viande de boeuf et en avoir ramené quatre ou cinq sacs chez lui parce qu'ils se vendaient mal. "Je ne savais rien", a-t-il dit. "Ca avait le goût du boeuf, ça ressemblait à du boeuf", a-t-il ajouté, se disant choqué par cette découverte.

Il a précisé avoir vendu 12 sacs. Trois autres, qui étaient toujours dans les congélateurs du magasin, ont été saisis par les autorités sanitaires. "La FSA a informé la Commission européenne et les autorités hongroises. Les autorités locales enquêtent et la viande va être testée pour voir si elle contient de la phénylbutazone", un antidouleur qui rend la viande de cheval impropre à la consommation, a précisé l'agence.

Un scandale devenu européen

Le scandale de la viande de cheval a débuté mi-janvier en Irlande. Il a ensuite éclaboussé l'industrie agro-alimentaire européenne, après la découverte de viande de cheval dans des lasagnes prétendument au boeuf en Grande-Bretagne, puis dans plusieurs pays du continent. De nombreux plats cuisinés ont été retirés des rayons dans une quinzaine de pays d'Europe et à Hong Kong.

Source: Tradconsulting via www.lepoint.fr


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