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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 08:24
 La dimension essentielle du marketplace dans la stratégie cross-canal
[E-commerce] La dimension essentielle du marketplace dans la stratégie cross-canal

Alors que les Galeries Lafayette s’apprêtent à lancer en septembre prochain leur propre marketplace sur leur site internet, les enjeux de l’ouverture d’une galerie marchande virtuelle sont de plus en plus grands pour les enseignes physiques. La part croissante des places de marché sur le net contribue à doper les chiffres de l’e-commerce et révèle à quel point la mise en place d’une stratégie cross-canal devient primordiale notamment dans le secteur de la grande distribution. Focus sur ces Amazon, Fnac.com ou encore AirBnB, les places de marché numériques d’aujourd’hui et de demain. 

Marketplace, trois acteurs, trois typologies

Derrière le terme de marketplace se cache l’idée d’une galerie marchande virtuelle, place de marché numérique. Celle-ci met en relation un vendeur et un acheteur afin de faciliter des transactions de biens ou de services. Un troisième acteur intervient dans ce modèle : l’opérateur, en charge de fournir les outils qui permettront de fluidifier ces échanges.

  1. L’opérateur a un rôle de régulateur et permet de sécuriser le cadre dans lequel s’effectuent les transactions : il met à disposition un système de paiement sécurisé, gère le catalogue de produits, la sécurité et l’authentification des informations sur les vendeurs/acheteurs. Parmi ces opérateurs, on distingue les pure players et les opérateurs hybrides:
    • Les pures players se positionnent clairement comme des intermédiaires entre les vendeurs et les acheteurs en proposant ce cadre de vente avec tous les services associés.
    • Les opérateurs hybrides fournissent l’espace de commercialisation et proposent également leurs propres produits à la vente.
  2. Les vendeurs peuvent être aussi bien des particuliers que des professionnels. L’intérêt majeur pour ces vendeurs est d’accéder à un trafic plus important. Le marketplace genère des enjeux forts pour les vendeurs:
    • des enjeux marketing : il permet de booster la prospection, proposer des offres promotionnelles,
    • des enjeux d’infrastructure et de maintenance : l’opérateur propose dans la majorité des cas ses solutions en mode SaaS, ce qui permet au vendeur de ne pas subir de coûts d’investissement,
    • des enjeux de gestion de catalogue produits.
      • La marketplace, kit fourni clé en main pour les vendeurs, devient donc un outil à fort potentiel dans le cadre du développement des ventes offline et dans l’alignement de la stratégie cross-canal.
  3. Les acheteurs peuvent être également des particuliers ou des entreprises. La place de marché numérique présente un enjeu stratégique, elle permet en effet de:
    • centraliser les fonctions achat (baisse des coûts de recherche et de commande, centralisation et groupement des achats, des recherches),
    • bénéficier d’offres commerciales plus avantageuses : elle permet de comparer rapidement différentes offres.

Trois types de marketplace cohabitent : B2B, B2C, et C2C. Ce sont aussi bien des produits (physiques ou immatériels) que des services qui y sont commercialisés. Ces marketplaces peuvent être généralistes (offre de produits très large, exemple : Pixmania ou Fnac.com) ou verticales (offre de produits limitée à une catégorie, exemple : GreenRepublic, spécialisé dans les produits bio).

 Un business model WIN-WIN…-WIN 

Le business model des marketplaces repose à la fois sur les commissions des ventes, la publicité, et les abonnements.

  • Commission sur la vente : l’opérateur qui attire les clients et offre aux vendeurs un marché large, prélève un pourcentage sur le prix de la vente.
  • Publicité : le trafic lié aux marketplaces incite les opérateurs à proposer des espaces publicitaires sur leur plateforme afin de générer des revenus supplémentaires.
  • Abonnements : à partir d’un certain volume de transactions, les marketplaces peuvent imposer aux vendeurs un abonnement « professionnel » en contre-partie de services supplémentaires (fourniture d’API pour automatiser des flux d’informations entre le SI interne et la plateforme, mise à disposition de KPI,…).

Les revenus ne se limitent donc pas aux commissions sur les ventes mais également aux services supplémentaires et différenciants qu’une marketplace peut offrir. L’enjeu réside donc dans la capacité de l’opérateur à proposer un business model intéressant pour les trois parties prenantes et donc dans sa faculté à optimiser les sources de revenus.

Les enjeux du déploiement d’une marketplace pour une enseigne physique et un e-commerçant

Les comportements de consommation évoluent. Dopé par l’essor du mobile (smartphones et tablettes), l’acte ROPO (Research Online Purchase Offline) s’intensifie. Il est clairement établi que le canal mobile impacte directement le processus d’achat. Dans cette dynamique, la prochaine étape n’est-elle pas le déplacement de l’acte de vente de la boutique physique vers le canal internet.  Deux enjeux liés au déploiement d’une marketplace fournissent des éléments de réponse.  

  • Mutualiser ses coûts et diversifier l’offre produit pour augmenter ses revenus et sa rentabilité

Pour un e-commerçant comme pour une enseigne physique, se doter d’une marketplace est un moyen de partager les coûts et de diversifier son offre produit. La principale difficulté à laquelle un e-commerçant possédant son propre site de vente en ligne est confronté est la génération de trafic régulier. Pour pallier ce frein, créer sa propre marketplace et permettre à d’autres vendeurs de proposer leurs produits/services est un moyen de partager les coûts de marketing  (via les commissions imputées sur les ventes) et de pérenniser son trafic. Dans le cas d’une enseigne physique, la génération de trafic sur la marketplace sera moins problématique, mais l’ouverture de cette galerie marchande numérique à d’autres vendeurs peut permettre de palier les problématiques de stock (en dirigeant l’acheteur vers un autre vendeur plutôt que vers un concurrent).

  • Optimiser sa stratégie cross-canal 

Les grandes enseignes physiques proposent de plus en plus leurs produits/services sur Internet. La majorité d’entre elles possèdent aujourd’hui un site internet, et certaines commencent à mettre en place leur propre marketplace. Dans le mouvement de convergence actuel entre la vente physique et la vente en ligne, le site internet ne suffit plus : généralement, l’offre de produit y est moins importante qu’en boutique. En ouvrant une marketplace, ces enseignes élargissent de fait leur offre produit et réduisent leur coûts. De nouvelles possibilités s’offrent alors à ces opérateurs hybrides qui peuvent proposer à leurs clients de commander un produit en rupture de stock chez eux mais disponible chez l’un des revendeurs partenaires sur la marketplace. Enfin, offrir ces nouveaux services aux consommateurs est un moyen de les encourager à effectuer l’acte d’achat sur Internet mais aussi et surtout un moyen de collecter de la data client pour améliorer la personnalisation des offres commerciales en magasin et donc l’expérience client.

  

En conclusion, ces marketplaces s’avèrent être de « nouveaux » outils performants. Encore faut-il se doter des bonnes technologies pour accompagner ce choix : se positionner en tant qu’opérateur pour une enseigne implique d’assurer la performance de la plateforme. L’outillage est donc tout aussi clé dans les réflexions liées au déploiement d’une marketplace.

 

Source: Trad'Consulting par SYLVAIN PIGEON via www.telcospinner-solucom.fr



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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 16:26
Un nouveau château du Bordelais acheté par un Chinois

cabernet-franc.jpg

 

Wengcheng Li, un architecte chinois possédant déjà deux propriétés viticoles dans le Bordelais, a acheté le château La Fleur Jonquet, situé dans les Graves, a-t-on appris vendredi auprès de l'ancienne propriétaire.

Des investisseurs chinois ont repris une trentaine de propriétés dans le vignoble de Bordeaux depuis cinq à six ans, dont récemment des grands crus.

Le château La Fleur Jonquet compte neuf hectares, dont 7,5 en rouge et 1,5 en blanc.

"Nous produisons environ 50.000 bouteilles par an, dont 10.000 en blanc, et nous exportons 75% de la production", a dit à Reuters Laurence Lataste, qui a créé et développé depuis 1986 le château situé à Arbanats et Portets.

Wengcheng Li possède déjà les châteaux La Dominante à Saint-Denis de Pile (Bordeaux Supérieur) et Lucas à Castillon-la-Bataille (Côtes de Castillon).

 

 

Source: Tradconsulting par Reuters via www.lesechos.fr

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 07:35
Yvon MAU fait appel à Hubert de Boüard du Chateau ANGELUS

 La gamme des vins Révélations se compose de sept châteaux, avec des prix compris entre 4,70 E et 8,60 E.

 

 

Le négociant Yvon Mau a fait appel à Hubert de Boüard, consultant et copropriétaire du prestigieux saint-émilion Château Angélus, pour la conception d'une gamme de vins de bordeaux milieu de gamme.

 

Hubert de Boüard ? Dans le milieu du vin, tout le monde connaît. Pour les autres, une courte biographie s'impose. Hubert de Boüard est tout simplement l'une des très grandes figures du vignoble bordelais. Depuis qu'il le gère avec son cousin, il a hissé haut les couleurs de son Château Angélus, puisque ce saint-émilion a rejoint en 2012 le cercle très fermé des premiers grands crus classés A, aux côtés de Château Cheval Blanc, Château Ausone et Château Pavie. Autant dire que le prix de ce grand cru s'est envolé, et que le simple particulier peinera, à l'avenir, pour dénicher une bouteille de ce prestigieux nectar de la Rive Droite, sous-région au nord du Bordelais.

Toutefois, il pourra se rattraper avec la gamme Révélations d'Hubert de Boüard, soit sept châteaux dont deux en AOC bordeaux. Leurs prix de vente devraient être compris entre 4,70 E et 8,60 E. Hubert de Boüard ne fait pas que prêter son nom à ces vins commercialisés par le négociant Yvon Mau (vins de marques Premius, Yvecourt, cava Freixenet, etc.). Il a en effet sélectionné des parcelles et donné des conseils aux propriétaires qui, en échange, doivent « laisser » le nom de leur château à la seule gamme Révélations. Un abandon pas si grave car, particularité bordelaise, les propriétaires ont le droit d'utiliser deux noms de châteaux différents pour un même domaine. L'objectif de la gamme, prévue pour être commercialisée lors d'opérations de type foire aux vins, est clairement de redorer le blason de la région avec des cuvées plus haut de gamme que celles vendues en fond de rayon, à moins de 4 E.

 

Un créneau intermédiaire porteur

 

« Il existe un créneau entre les vins premiers prix et les vins à plus de 15 E », estime Philippe Laquèche, président d'Yvon Mau. Cette initiative n'est pas sans rappeler celle d'un autre négociant bordelais : Maison Bouey qui, en 2011, a lancé la gamme Parcelles, élaborée par le consultant en oenologie Stéphane Derenoncourt, dont les conseils sont recherchés par les vignobles du monde entier. Notons qu'Hubert de Boüard est également consultant pour une quarantaine de domaines dans le Bordelais, en Afrique du Sud, au Liban ou encore en Thaïlande. Il est également propriétaire de la Fleur de Boüard, sur l'appellation lalande-de-pomerol, et du Château de Francs, sur l'appellation bordeaux-côtes-de-francs.

 

Source: Trad'Consulting par S. Leb. via www.lsa-conso.fr

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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 15:37
Pour la seconde année, l'enseigne Carrefour de la Beaujoire à Nantes (44) met en avant des producteurs locaux ou régionaux. Une nouvelle manière de répondre à la demande des consommateurs.

 

 

 

Fin de matinée dans le supermarché Carrefour de la Beaujoire. Franck Valenteyn le directeur inspecte les présentoirs des produits du terroir (charcuteries, crêpes, légumes, vins, fromages...) disposés de manière à capter le regard des consommateurs. L'animation court tout au long de la semaine. Mais au fil des saisons, les rayons du magasin accueillent des salades, blettes carottes, céleris ou poireaux produits à Thouaré-sur-Loire, chez Guy Bernardeau ; des pommes, poires et jus de fruits bio tirés des vergers de Gérard Placier à Saint-Julien-de-Concelles. Un autre maraîcher ligérien, Jean-Pierre Athimon, fournit les radis. De son côté, un producteur de fromages de chèvre bio angevin, propose neuf références.

« Nous reconduisons cette opération lancée l'année dernière, explique Franck Valenteyn, parce que notre politique est désormais de référencer des producteurs locaux ou régionaux pour les valoriser auprès des consommateurs... » Pas moins de 950 produits de cette nature figurent dans les rayons du magasin de la Beaujoire. Ils célèbrent aussi bien la région nantaise que la Bretagne traditionnelle qui occupe une allée entière au rayon épicerie.

Du muscadet millésimé

Gérard Ganichaud, viticulteur sur 40 ha à Mouzillon, voit dans ce partenariat avec la grande distribution, une opportunité de commercialiser son muscadet. « Nous vendons la majeure partie de notre vin à cette enseigne depuis quinze ans, souligne-t-il. Nous pratiquons aussi la vente directe et le commerce avec les cavistes... » Gérard Ganichaud appartient à une génération de vignerons qui s'organise pour aborder de nouveaux marchés : « Nous prenons peu à peu la place des petits négociants d'autrefois, mais en pariant sur la qualité... » Le viticulteur de Mouzillon dispose de cinq références de muscadet, dont un millésime 2007, au rayon vins du supermarché. Quelques autres producteurs du vignoble nantais sont également représentés.

Une politique commune

Tous les magasins sous enseigne Carrefour ont reçu le feu vert du groupe pour référencer des produits locaux.« C'est un atout commercial », convient Franck Valenteyn qui travaille avec une cinquantaine de fournisseurs de l'ouest. Le manager a même décliné la carte de la proximité avec des vêtements (parkas, marinières...) fabriqués localement. L'enseigne négocie actuellement pour proposer un plus grand volume de poissons pêchés à bord des petits bateaux du littoral breton.

Source: Trad'Consulting par Jocelyne RAT via www.entreprises.ouest-france.fr

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 14:24

La plateforme mesgoûts.fr a dévoilé lundi 29 avril son premier palmarès de la "Sélection des Consommateurs 2013".

 

 

 

Près de 15 000 produits alimentaires y concourent automatiquement et gratuitement. C'est la qualité qui est le premier critère d'achat de ce panel

 

 Le moteur de recherche alimentaire mesgoûts.fr (1) vient de dévoiler son premier palmarès de la Sélection des Consommateurs. Les produits de grandes marques (Danone, Marie, Bonne Maman...) y sont au coude à coude avec les produits d'enseigne (Casino, Auchan, Intermarché...). Et surprise, certains produits discount se sont également invités.

 

 (Lire notre article qui présentait cette plateforme d'un nouveau genre). Les lauréats sont les produits les plus adaptés aux critères d'achat déclarés par plus de 20 000 consommateurs. Critère d'achat alimentaire n°1 : la qualité 22 569 membres se sont inscrits sur mesgoûts.fr entre le 25 septembre 2012 (lancement du site Internet) et le 16 avril 2013.

 

Parmi eux, 48% d'hommes et 52% de femmes. Ces membres ont renseigné leur profil et critères d'achat afin d'obtenir des évaluations personnalisées de produits. Ils ont notamment indiqué l'importance pour eux de sept critères : Qualité, Nutrition, Prix, Origine, Environnement, Ethique / Social et Appréciation (note subjective donnée par les autres membres de la communauté).

Si de fortes disparités sont à noter en fonction des personnes, le critère d'achat n°1 déclaré est la Qualité. Viennent ensuite, dans l'ordre : La Nutrition et l'Origine des produits (2èmes ex aequo) ; le Prix (4ème), et l'Environnement (5ème). 

 Pas cher mais pas à n'importe quel prix ! Afin d'analyser l'impact du scandale de la viande de cheval, l'équipe mesGoûts a comparé : les profils enregistrés jusqu'au 6 février 2013 (éclatement du scandale en France) et ceux renseignés depuis le 6 février Les chiffres sont sans appel : l'attention s'est accrue sur l'origine (+5%) et l'environnement (+3%). Le prix voit quant à lui diminuer son importance de 8%... Les consommateurs veulent certes acheter " pas cher ", mais pas à n'importe quel prix ! Reste à savoir si ce comportement observé depuis un mois et demi aura des effets durables sur le mode de consommation des Français.

 

Les lauréats, grandes marques ou marques d'enseignes ? Les résultats de la Sélection des Consommateurs 2013 mesGoûts.fr balayent les idées reçues. On pourrait penser que les lauréats des catégories de produits " de base " (produits pas ou peu transformés) seraient en majorité les produits d'enseigne. En effet, ces produits sont a priori peu différents de leurs concurrents de grandes marques avec un prix plus compétitif. La farine Francine par exemple, bien que légèrement plus chère que les produits d'enseigne, est primée car elle est garantie 100% française (ingrédients, fabricant, marque). De même, qui a dit que les grandes marques trusteraient les prix sur les produits élaborés ? On observe de la part des enseignes une volonté farouche de concurrencer les grandes marques aussi sur les produits à forte valeur ajoutée, comme en témoignent les exemples ci-dessous : Au final, au palmarès 2013, les marques d'enseigne et les grandes marques sont au coude à coude, avec un très léger avantage pour les marques d'enseigne

 

La surprise : plus de 20 produits discount lauréats On l'a vu, le critère n°1 déclaré ici par les consommateurs est la Qualité. Cela n'empêche pas certains produits discount d'être primés. Le produit Aldi est lauréat dans la catégorie " Camembert ". Il bénéficie comme ses concurrents de marque d'un cahier des charges très qualitatif (AOP), et ce avec un prix très compétitif Le panel mesgoûts.fr Les membres inscrits sur mesGoûts sont sur-représentés sur les catégories " 25-34 ans " et " 35-49 ans ". mesGoûts touche donc en priorité la ménagère (et le " ménager " !) de moins de 50 ans...

Les membres mesGoûts sont bien répartis sur le territoire national, à l'exception d'une représentativité quasi double dans 2 régions : Ile de France et Aquitaine. Les membres mesGoûts représentent une grande diversité de profils (écarts-types importants). Toutefois, en moyenne, la Qualité est nettement le 1er critère d'achat déclaré. 26% des membres ont déclaré ne pas vouloir consommer au moins un type d'ingrédient Parmi les plus courants : l'huile de palme (pour 9,6% des membres).

Méthodologie. Tous les produits présents sur mesGoûts.fr (près de 15 000 références) concourent automatiquement et gratuitement à la Sélection des Consommateurs 2013.

 

Voici la méthodologie selon laquelle sont désignés les lauréats de chaque catégorie : Une fois son profil renseigné (préférences, critères d'achat, lieu d'habitation...), chaque membre mesGoûts obtient une note sur 10 personnalisée pour l'ensemble des 14 820 produits référencés sur mesGoûts. Cette note sur 10 reflète l'adéquation entre son profil et le produit. Un même produit peut donc obtenir des notes différentes pour chaque membre : Pour chaque produit, l'équipe mesGoûts a calculé la moyenne des notes pour les 22 569 membres. Les calculs ont été effectués à partir de la base de données mesGoûts (produits et membres) arrêtée au 16 avril 2013 (300 millions de notes calculées, soit près d'une semaine de calcul informatique non stop sur un serveur dédié). Les produits lauréats sont ceux qui ont obtenu la note moyenne la plus élevée dans leur catégorie. Ce sont donc les produits qui sont - en moyenne - les plus en adéquation avec les critères d'achat déclarés. 

 

 mesGoûts, le moteur de recherche alimentaire : Fondé par 3 papas trentenaires et disponible sur Internet et appli iPhone / Androïd depuis le 25 septembre 2012. Chacun peu comparer les produits alimentaires et d'identifier ceux qui lui conviennent grâce une analyse complète : Qualité, Nutrition, Environnement, Prix, Origine, Ethique et social, ... un décryptage en profondeur sur déjà + de 14 000 références. Analyse personnalisée : en renseignant son profil et ses critères de choix, on obtient une note personnalisée pour chaque produit. analyse objective : mesGoûts est indépendant des grandes marques et des distributeurs et totalement transparent sur la façon dont sont évalués les produits. Mots clés : Grande consommation | Mesgouts.fr | consommation alimentaire

Source: Trad'Consulting par Amelle NEBIA via  www.ecommercemag.fr - "Mesgoûts.fr dévoile sa 'sélection des consommateurs'"
Copyright ©Editialis

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20 avril 2013 6 20 /04 /avril /2013 13:05
En marge de sa visite de l’entreprise de salaisons Berni, hier à Verdun, Guillaume Garot, ministre délégué à l’Agroalimentaire a promis un plan pour la filière. Objectif : rétablir la confiance entre acteurs et consommateurs.
« Enfant de la campagne, j’ai été élevé au milieu des petits cochons dont je peux mesurer aujourd’hui de quelle manière on fait de bons produits », a souligné hier Guillaume Garot, ministre délégué à l’Agroalimentaire. Photo Pascal BROCARD

« Enfant de la campagne, j’ai été élevé au milieu des petits cochons dont je peux mesurer aujourd’hui de quelle manière on fait de bons produits », a souligné hier Guillaume Garot, ministre délégué à l’Agroalimentaire. Photo Pascal BROCARD

Relancer une filière agroalimentaire au creux de la vague. Précédant l’annonce de la liquidation judiciaire de Spanghero, à l’origine du scandale de la viande de cheval, Guillaume Garot est venu prendre le pouls de la filière lorraine. Avec pour point de chute, les locaux de la charcuterie Berni, à Verdun, le ministre délégué à l’Agroalimentaire a tenté de rassurer élus et représentants de la profession. Laquelle représente, en Lorraine, 15 000 des 495 000 emplois dans le pays, pour un chiffre d’affaires de 5 Md€, au 13e rang national sur les 160 Md€ de chiffre d’affaires. En pleine tourmente, la filière subit tout à la fois les conséquences de la crise de confiance avec le consommateur, à la suite des récents scandales d’étiquetage, et les tensions avec la grande distribution accusée de ne pas répercuter la hausse des prix des matières premières. « Soit, en huit ans, une baisse de marges de 10 % », déplore Philippe Trévisan, directeur du site verdunois, à l’issue de la visite de l’entreprise. Son hôte acquiesce : « On doit aujourd’hui fixer de nouvelles règles du jeu pour un meilleur équilibre des forces », assène-t-il. Guillaume Garot confirme pour juin l’adaptation législative de la loi de modernisation de l’économie (LME) afin de permettre aux producteurs et aux transformateurs de retrouver des marges. Par ailleurs, il dévoilera le 30 mai « un contrat de filière pour l’agroalimentaire » portant sur l’emploi, l’investissement, l’export et l’innovation.

Boite à outils

Celui qui se présente comme fils d’éleveur se pose en allié de la profession : « Enfant de la campagne, j’ai été élevé au milieu des petits cochons dont je peux mesurer aujourd’hui de quelle manière on fait de bons produits. » Le compliment va droit au cœur de Philippe Trévisan. Lequel vient de boucler une présentation détaillée des productions maison, transformées et conditionnées sur place. En tête desquelles, le chorizo se taille la part du lion. Le cochon y est roi. Mais pas seulement. « Nous sommes historiquement les premiers a avoir occupé le marché du halal », complète le patron, à la tête d’une centaine de salariés. Son interlocuteur salue « la belle capacité d’innovation », notamment en matière de charcuterie de volailles. La veille encore, il plaidait en compagnie de son ministre de tutelle, Stéphane Le Foll, en faveur d’une diversification des productions françaises à l’export. Notamment grâce à la charcuterie de volaille. Une piste pour endiguer le déclin de la filière viande (34 000 salariés) qui déplore la perte de 4 000 salariés en 2012 et 5 000 en 2013.

Complétant l’inventaire de la boîte à outils, Guillaume Garot insiste sur le rôle de la Banque publique d’investissement. Laquelle doit proposer, selon lui, du sur-mesure : « On ne peut pas considérer d’une même façon une entreprise numérique et une entreprise de salaisons. » L’orateur renvoie, par ailleurs, les chefs d’entreprise à leurs obligations en matière de dialogue social tout en saluant la loi sur l’emploi : « Il n’y aura pas de compétitivité économique sans compétitivité sociale… sans modernisation sociale », se reprend-il. Là encore, sa visite matinale l’a convaincu. Dans Berni tout est bon.

 Source: Trad'Consulting par Xavier BROUET via www.republicain-lorrain.fr


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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 09:27

  

Près de 4.000 emplois ont disparu en 2012 et, selon les prévisions, ce nombre atteindra au moins 5.000 en 2013.De nombreuses entreprises du secteur sont fragilisées.

L'industrie agroalimentaire française a généré un chiffre d'affaires de 160,9 milliards d'euros en 2012, en baisse de 2,3 %, et perdu 3.900 emplois. Selon les prévisions, 5.000 emplois de plus devraient disparaître dès le premier semestre. Ces restructurations concernent surtout la charcuterie, les traiteurs et la boulangerie-pâtisserie. « Ce chiffre de 5.000 est l'addition de fermetures par paquets de 20 à 30 postes », a précisé Jean-René Buisson, le président de l'Association nationale des industries agroalimentaires (Ania).

L'industrie agroalimentaire, qui dégage le deuxième plus gros solde du commerce extérieur (9,2 milliards), a nettement moins bien résisté à la crise qu'en 2009. «  Les moyens qui avaient alors été déployés pour passer les difficultés n'existent plus aujourd'hui  », a expliqué hier Jean-René Buisson, à l'occasion de la présentation du bilan annuel d'activité de la profession.

Pour la première fois depuis de nombreuses années, la consommation alimentaire a reculé, de 0,8 %, en raison de la baisse du pouvoir d'achat des Francais. Dans ce contexte, les nouvelles taxes sur les boissons sucrées, la bière et les alcools ont contribué à affaiblir le secteur. A cela s'ajoute le fait que les industriels n'ont pas réussi à répercuter dans leurs tarifs à la grande distribution la flambée des coûts de production. «  Une variation de - 20 % à + 20 % des cours des matières premières est acceptable. On en est très loin avec des hausses de 29 % sur le blé, de 62 % pour le maïs et de 42 % pour le soja », a commenté Jean-René Buisson. La situation est particulièrement critique dans l'industrie de la viande, où les matières premières représentent de 30 à 50 % du coût final des produits.

Tous ces facteurs pèsent sur la rentabilité des entreprises, qui s'est dégradée de façon inquiétante, fragilisant beaucoup de PME. «  Elles sont nombreuses à perdre de l'argent », déplore l'Ania. Les marges brutes se sont érodées. Depuis 2008, elles ont diminué de 14,3 points, atteignant «  un plancher historique de 22,4 points, si bien que nous sommes tombés au même niveau que le reste de l'industrie manufacturière, alors que nous étions traditionnellement très au-dessus  », selon l'Ania.

Le secteur a enregistré près de 300 défaillances d'entreprise au deuxième semestre 2012, contre 247 un an avant. Malgré ces restructurations, l'agroalimentaire demeure l'un des plus gros employeurs en France, avec 495.000 emplois, près des trois quarts non qualifiés. C'est à la fois un plus et un problème, dans la mesure où le secteur est jugé peu attrayant. Du coup, il y a en permanence 10.000 emplois qui ne trouvent pas preneur. «  Ces emplois sont perçus à tort comme ingrats. Beaucoup de progrès ont été fait », selon Jean-René Buisson. En revanche, «  il faudrait revaloriser les salaires pour régler le problème », a-t-il concédé.

L'industrie agroalimentaire attend beaucoup du projet de loi du ministre de la Consommation, Benoît Hamon. Présenté le 2 mai en Conseil des ministres, ce texte doit inclure des mesures améliorant la LME (loi de modernisation de l'économie), qui régit les relations entre les industriels et la distribution. L'Ania tient en particulier à ce que ce soit les entreprises qui proposent leurs tarifs lors des négociations commerciales, alors que, aujourd'hui, les distributeurs refusent d'entrer dans les discussions. Elle demande en outre que les accords passés (ristournes...) soient écrits, afin d'éviter les contestations a posteriori.

Source: Trad'Consulting par MARIE-JOSÉE COUGARD via www.lesechos.fr 


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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 00:01
 
 
Les Françaises, des "amateurs" de vin comme les autres

Photo : Käfer photo/shutterstock.com/Relaxnews

 
Les Françaises, des "amateurs" de vin comme les autres

Désormais, le vin n'est plus une histoire d'hommes. Les Françaises sont plus nombreuses à fréquenter les cours d'oenologie et sont loin de préférer le rosé. Elles sont aussi devenus sommelières ou gèrent les plus grandes appellations. Seule différence avec leurs conjoints, "elles n'en font pas une question de pouvoir", confie Thierry Desseauve, le journaliste français qui signe l'édition 2013 de son guide des vins, aux côtés de son compère Michel Bettane.

"Il y a quinze ans, le vin était structuré. C'était toujours un membre de la famille, le tonton d'une cinquantaine d'années, qui connaissait les bouteilles à boire et dont on suivait le conseil" raconte le journaliste Thierry Desseauve. Bien que les hommes représentent la clientèle la plus remarquée des Foires aux vins des grandes surfaces, cet univers bien masculin a dû accueillir un nouveau profil de consommateurs : les femmes. Derrière leur caddie le samedi, les Françaises remplissent le frigo pour la semaine et n'hésitent plus à fréquenter la cave des distributeurs, avant de passer à la caisse. "Ce sont elles qui font le plus souvent ce genre d'achat le reste de l'année", souligne Alain Marty, Président du Wine & Business Club.

Des amateurs de vin décomplexés

Sans aucun a priori sur les cuvées, les Françaises se forgent leur propre avis sur les nectars qu'elles dégustent, dans un état d'esprit tout à fait libre des préjugés et des idées préconçues, estime Desseauve. Et comme si cela ne suffisait pas pour agacer les hommes, elles bénéficient d'un atout non négligeable : leur nez. "Les femmes ont une mémoire olfactive bien meilleure que les hommes", tient à souligner Alain Marty.

Sans complexe, les Françaises sont ainsi devenues des "amateurs" comme les autres, curieuses de comprendre les subtilités des arômes et de l'équilibre d'un vin. Ce n'est donc pas un hasard si les élèves, qui réservent des cours d'oenologie, sont en majorité des femmes, remarque l'homme d'affaires.

A l'instar de leur conjoint ou de leur père, les dégustatrices perçoivent le vin comme un produit traditionnel français, façonné par un terroir et une origine, les deux critères de choix de ces dames, selon la dernière étude du cabinet IWSR. Un breuvage idéal à l'heure de l'apéritif, pour 17,9% d'entre elles, et incontournable pour 49,5% quand vient l'heure du rendez-vous galant.

Les Françaises aiment le vin... rouge

Les femmes ont ainsi tout d'un consommateur lambda, jusqu'à même préférer le vin rouge, balayant les clichés rassurants qui leur réservent la consommation du vin rosé. "Elles s'intéressent à tous les vins, mêmes les rouges les plus charpentés et puissants. Il n'existe aucune différence entre les hommes et les femmes à ce sujet", résume Thierry Desseauve. La moitié des Françaises choisit donc de préférence une bouteille de vin rouge, quand seulement 18,1% optent pour le rosé, selon IWSR.

Pourtant, certains négociants et propriétaires croient séduire un nouveau public féminin en créant des étiquettes plus "féminines", en optant pour des couleurs acidulées, allant jusqu'à commander des bouteilles en forme de flacons de parfum. Peine perdue, "toutes les tentatives de packaging modernes, esthétiques se sont plantées", confie Thierry Desseauve.

Les nouvelles stars du vin

Même si elles ne se différencient (presque) pas des amateurs masculins, les Françaises attirent toute l'attention des experts du vin, jusque dans les vignes. Aujourd'hui, elles ne se cantonnent plus à suppléer leur conjoint vigneron en s'occupant de l'administratif. Elles dirigent les exploitations. "Les plus grands vignerons de Bourgogne ou de Saint Emilion sont des femmes. Leurs vins sont très vigoureux et d'une grande finesse", analyse l'acolyte de Michel Bettane. Ces nouvelles expertes officient aussi dans les chais, et jusqu'au service dans les restaurants en incarnant les rôles d'oenologues ou de sommelières.

Béatrice Larribière s'est par exemple fait connaître pour son travail au Château Trapaud, à l'est de la juridiction de Saint-Emilion. En Bourgogne, les "femmes vignerons" se sont même regroupées au sein d'une association, baptisée "Femmes et Vins de Bourgogne", sous la houlette de Virginie Taupenot-Daniel qui officie au domaine familial étendu sur vingt appellations en Côte de Beaune et Côte de Nuits.

Nouveaux visages du vin français, les femmes vignerons sont même parvenues à profiter de l'ouverture d'un espace qui leur a été entièrement dédié lors de Vinexpo en 2011, l'un des salons les plus influents dans le monde. Que les oenophiles masculins se rassurent, la féminisation du vin, tant dans les vignobles que dans les rayons des supermarchés, n'aura aucun impact sur la qualité de l'offre, dixit Thierry Desseauve et Alain Marty.

Source: Trad'Consulting via www.metrofrance.com

 

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 21:34
Carrefour voit grand sur sa foire aux vins de printemps 
DR

 

L’enseigne d’hypermarchés démarre aujourd’hui sa « grande »foire aux vins de printemps avec un tract de 36 pages entièrement dédié à cette opération. Il est vrai que Carrefour n’a pas lésiné sur les moyens avec près de 200 références. Sous l’égide de Sébastien Coquelle, manager marketing vins de l'enseigne et présenté comme l’expert en vins de Carrefour, cette opération laisse la part belle à la promotion. Deux pages sont en effet consacrées aux vins MDD La Cave d’Augustin Florent avec une remise de – 50 % sur la deuxième unité achetée, deux pages à une offre de cartons de six bouteilles dont deux gratuites ou encore plusieurs produits bénéficiant de la mécanique 1+ 1 gratuit. Exemple : le blaye côtes de Bordeaux château l’Hirondelle 2012 proposé à 18 € le lot de douze bouteilles. Deux champagnes profitent aussi de cette ristourne. A savoir de Castellane cuvée Commodore et G.H. Martel vendus respectivement à 13,50 € et 12,50 €, remises incluses.

 

Au niveau de la présentation du prospectus, Carrefour a choisi comme clé d’entrée le prix : les bouteilles de moins de 3 €, entre 3 et 4 € et entre 4 et 6 €. Au-delà, les vins sont rassemblés dans la « sélection de notre Expert ». A noter également que Carrefour propose aussi une double-page de grandes étiquettes bordelaises.

 

Source: Trad'Consulting par Y.Denjean via www.rayon-boissons.com


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14 avril 2013 7 14 /04 /avril /2013 08:40

Leader mondial des études et de l'information, Nielsen suit à la trace le comportement des consommateurs. En France, l'institut fonde ses études sur un panel de 17.000 foyers que complète une enquête trimestrielle sur le moral des ménages menée dans 58 pays. Laurent Zeller, PDG de Nielsen France, livre aux « Echos » son analyse sur ce coup de frein dans la consommation des Français.

 

Quels sont les résultats de vos dernières données sur les achats des Français ?

A fin mars, au 24, très précisément, nous observons encore une croissance de 1,8 % en valeur dans les produits de grande consommation achetés dans les grandes surfaces. Mais, pour la première fois depuis 2009, les volumes vendus sont stables. On ne peut pas parler d'un décrochage brutal, car nous sommes dans une industrie plutôt résiliente qui, contrairement à l'automobile, ne connaît pas de fortes hausses pas plus que de baisses brutales. Pour autant, il y a bel et bien une rupture de consommation que nos chiffres font remonter au mois d'octobre dernier.

 

Cette tendance vous semble-t-elle devoir s'inscrire dans la durée ?

Je pense en effet que ce mouvement est relativement profond. La pression sur le pouvoir d'achat des Français existe bel et bien. Ils voient bien qu'ils ont moins d'argent disponible. Et pour ceux qui ont la chance d'avoir du travail, ils ont aussi moins de temps disponible, compte tenu des contraintes de productivité. Du coup, les ménages modifient leur façon d'acheter et de consommer. Ils prennent des mesures plus ou moins drastiques d'arbitrage dans leurs dépenses. Par exemple, ils sortent moins, vont moins au restaurant, mais peuvent en revanche se payer des petits plaisirs pas chers, une tablette de chocolat, un bon fromage, une bouteille de vin, ou réaliser des achats ludiques qui leur mettent un peu de baume au coeur. De la même manière, ils plébiscitent le « drive » et Internet pour optimiser leurs courses. Mais apprécient aussi des expériences de shopping qui sortent de l'ordinaire.

 

N'y a-t-il pas aussi un problème de confiance ?

Dans l'alimentation, la crise de la viande de cheval a créé un choc, pas tellement pour avoir mangé du cheval, mais pour avoir été trompé. Cependant, notre pays a l'une des meilleures chaînes alimentaires du monde, et je fais le pari que tout cela sera oublié après l'été. En revanche, plus largement, quant à leur perception de l'avenir et des arbitrages nécessaires, il ressort de notre étude trimestrielle que la France se classe 51e des 58 pays observés en termes de confiance des consommateurs. Anticipant d'éventuels coups durs dans leur emploi et sur leurs factures de la vie de tous les jours, les Français ont un réflexe de fourmi.

 

Source: Trad'Consulting par Antoine Boudet via www.lesechos.fr

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